Troubles psychologiques, inflammation de l’estomac ou du pancréas, cancer de la bouche, de la gorge, de l’oesophage, démence sont quelques-uns des effets délétères sur la santé de la surconsommation d’alcool à long terme.
Lire aussi les conseils de prévention face à la drogue du violeur (GBL ou GHB).
Conseils pour bien faire la fête :
- Faites la fête sobrement : on peut très bien s’amuser sans boire. En tout cas, ne consommez pas plus de trois verres standard* par occasion.
- Nous ne sommes pas égaux devant l’alcool : pour une même quantité d’alcool ingérée, un pilier de rugby (ou de bar…) peut ne ressentir quasiment aucun effet tandis qu’une frêle surfeuse sera totalement ivre…
- Ne buvez pas à jeun ni quand vous vous sentez fatigué ou triste.
- Les mélanges détonants avec d’autres substances (cannabis, médicaments, ecstasy…) sont à proscrire.
- Evitez le conflit sous l’emprise de l’alcool. Si une personne passablement éméchée vous cherche des noises, tournez les talons. L’alcool peut conduire à une perte de contrôle de soi et à des actes de violence aux conséquences dramatiques.
- Ne consommez pas la moindre goutte d’alcool pendant une grossesse.
- Si vous avez bu, faites-vous ramener par un « capitaine de soirée » qui n’aura rien pris, prenez le bus ou une navette. Prendre le taxi à plusieurs est rentable et peut éviter un accident de la route.
- L’alcool s’élimine lentement. Si vous en avez abusé jusqu’à une heure avancée de la nuit, votre taux restera positif jusqu’à tard le lendemain. Un café serré ou une douche froide n’y changeront rien. N’allez pas surfer avant le soir, à condition d’avoir complètement récupéré.